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L’ange de Frédéric Lenoir

Paru su RTL: “Le roman de Frédéric Lenoir La Consolation de l’ange, sorti fin 2019, vient de paraître au Livre de Poche. “Je fais d’ailleurs sortir mes livres en poche assez vite, car je sais qu’il y a tout un public qui attend, qui n’a pas les moyens de s’acheter un livre grand format (…) et je sais que le livre de poche va marcher autant si ce n’est plus que le premier grand format, donc j’y attache beaucoup d’importance”, explique Frédéric Lenoir sur la deuxième parution de son roman.”

Davantage sur https://www.rtl.fr/culture/arts-spectacles/frederic-lenoir-revient-sur-la-sortie-en-livre-de-poche-de-la-consolation-de-l-ange-7900003713

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Le bonheur est-il une femme

Un article de Gaël Brulé

C’est du moins ce qu’affirmait Nietzsche  dans ‘Ainsi parlait Zarathoustra’, poème philosophique dans lequel il écrivait :

“Ainsi parlait Zarathoustra. Et il attendit son malheur toute la nuit : mais il attendit en vain. La nuit resta claire et silencieuse, et le bonheur lui-même s’approcha de lui de plus en plus. Vers le matin cependant Zarathoustra se mit à rire en son cœur, et il dit d’un ton ironique : « Le bonheur me court après. Cela vient de ce que je ne cours pas après les femmes. Or, le bonheur est une femme”

S’il n’est pas toujours aisé de comprendre la pensée de Nietzsche dans ce poème, il est néanmoins intéressant-et je l’espère pertinent- de s’interroger sur la question du sexe-ou du genre-du bonheur. En effet, comme je l’écrivais dans un billet précédent(cf.Du bonheur à la gaîté lyrique), la grande majorité des recherches semble aller dans le même sens : les femmes seraient plus heureuses que les hommes. Les femmes sont en effet plus heureuses en mariage, plus heureuses célibataires, et pratiquement tout au long de leur vie ; seule la retraite et le divorce semble donner une chance aux hommes de refaire une partie de leur retard sur ce terrain.

La suite sur : https://gaelbrule.com/2014/02/02/le-bonheur-est-il-une-femme/

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Le burnout des soignants

un article d’Antonia Csillik et de Fabien Bac

Le syndrome d’épuisement professionnel, ou burnout, apparait comme un phénomène majeur de société dans les années 80. Dès l’émergence de ce concept, les professionnel·le·s au contact des malades ont été considérés comme parmi les plus à risque, en particulier celles et ceux confronté·e·s de façon récurrente à la mort de patient·e·s. Si les facteurs précipitant ou favorisant l’épuisement professionnel, le stress et l’anxiété des travailleurs et travailleuses ont été largement étudiés dans la littérature, très peu de travaux, dans un contexte francophone, se sont intéressés aux ressources psychologiques de l’individu pour contenir l’épuisement professionnel. Tel est l’enjeu de cette étude, sur une population de soignant·e·s exposés de façon régulière à la mort de patient·e·s. Des mesures de l’anxiété et de la dépression, du burnout et de quatre ressources psychologiques (disposition à l’attention consciente, intelligence psychologique, sentiment d’efficacité personnelle et optimisme dispositionnel) ont été réalisées auprès de 31 personnels soignants en milieu hospitalier. Parmi les personnes interrogées, 42% étaient infirmiers ou infirmières, 23% aides-soignant·e·s et 19% médecins. De plus, 19% travaillaient en Équipe Mobile de Soins Palliatifs (EMSP), 48% dans un service d’hospitalisation conventionnelle et 29% dans un service d’hospitalisation programmée. Des analyses de régression linéaire multiples ont été menées pour mettre en lien ces différentes variables. Le sentiment d’efficacité personnelle apparait comme un facteur protecteur contre la dépression (β = -.44, p < .01) et la disposition à l’attention consciente (mindfulness) comme un facteur protecteur contre l’anxiété (β  = -.48, p  < .01). Le niveau d’insight, une des dimensions de l’intelligence psychologique, apparait comme un facteur explicatif et protecteur contre une des dimensions de l’épuisement professionnel : la dépersonnalisation (respectivement : β = -.53, p < .01 et β = -.33, p < .05). La disposition à l’attention consciente favorise le sentiment d’accomplissement personnel (β = .47, p < .01). Finalement ces résultats invitent à s’intéresser aux ressources protectrices de la santé mentale de populations soignantes hospitalières, qui pourraient être ainsi cultivées dans une optique de prévention du burnout.

Davantage sur https://sciences-et-bonheur.org/2021/02/06/les-ressources-psychologiques-facteurs-de-protection-pour-les-soignant·e·s-confronte·e·s-a-la-fin-de-vie-fabien-bac-et-antonia-csillik/

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Le bonheur et les oiseaux

Un article paru sur le parisien à propos du bonheur retrouvé des habitants de Roissy

https://www.leparisien.fr/video/video-on-entend-le-chant-des-oiseaux-quand-la-chute-du-trafic-aerien-fait-le-bonheur-des-riverains-de-roissy-05-03-2021-YS4ISPLBYVFTJOGVP7GZPYJI2I.php

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Au pti bonheur

Alain veut redonner une nouvelle vie à ces anciens thermes achetés sur le bon coin.

Emission France Bleu pays de Savoie

https://www.francebleu.fr/emissions/au-p-tit-bonheur/pays-de-savoie/alain-a-rachete-les-anciens-thermes-de-la-bauche-les-bains

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Gentillesse et bienveillance

Gentillesse et bienveillance comme ressources psychologiques / Annie Paquet et Fabien Fenouillet

Cet article propose un éclairage théorique des notions de gentillesse et de bienveillance en mêlant la théorie de l’autodétermination de Deci et Ryan (2014) et la psychologie des valeurs de Schwartz (2006). À partir d’une revue de littérature de ces concepts appartenant au sens commun, une proposition personnelle des définitions de la gentillesse et de la bienveillance, ainsi que de leur relation, est faite. Après une exploration des bénéfices respectifs de la gentillesse et de la bienveillance, ces deux notions sont envisagées comme ressources psychologiques individuelles avec des évidences empiriques en ce sens pour la gentillesse et le constat de la nécessité de recherches supplémentaires pour la bienveillance.

Davantage sur https://sciences-et-bonheur.org/2021/02/06/gentillesse-et-bienveillance-comme-ressources-psychologiques-annie-paquet-et-fabien-fenouillet/

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Le bonheur Français

Qu’est ce que le bonheur français?

Gaël Brulé est sur France Inter pour son livre petites mythologies du bonheur français

https://www.franceinter.fr/emissions/grand-bien-vous-fasse/grand-bien-vous-fasse-13-fevrier-2020

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Restons serein.e.s

Avec Fabrice Midal. Sur la RTS

Savoir lâcher-prise, ne pas chercher à tout contrôler, telles sont les recommandations du philosophe français Fabrice Midal. Avec la crise sanitaire, il est plus que jamais important de créer ses propres rituels et activités pour trouver un peu de sérénité.

Plusieurs études ont montré que le coronavirus, les mesures sanitaires et les semi-confinements ont un impact majeur sur le moral des Suisses. A l’isolement s’ajoutent la fatigue, la dépression et l’anxiété. Il ne s’agit plus d’une crise passagère, mais d’un fardeau au quotidien.

Se faire du bien

Pour le philosophe et écrivain français Fabrice Midal, auteur de plusieurs best-sellers dans le domaine du développement personnel et de “Comment rester serein quand tout s’effondre” (Ed. Flammarion), il est important dans un tel contexte de pas chercher à tout contrôler.

Davantage sur : https://www.rts.ch/info/culture/livres/11940429-les-conseils-du-philosophe-fabrice-midal-pour-rester-serein.html

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Savourons le silence

Emilie Devienne

Le nouveau livre d’Émilie Devienne, coach et romancière, est une jolie balade dans le silence. Nous y apprenons d’abord qu’il est un privilège pour 87% des français et que Paris est la deuxième ville européenne la plus bruyante après Barcelone. Nous y découvrons aussi son côté paradoxal : on le cherche autant qu’on le fuit, et pas seulement parce qu’on en a peur : il existe aussi un mauvais silence, celui du mari de Natacha Calestrémé, qui l’a blessée, et qu’elle décrit dans son Ted-X, cité utilement dans le livre. C’est celui que le psychologue pour couples John Gottman, auquel il est également fait référence, appelle le « mur de pierre » qu’on bâtit à deux pour le pire.

Ces précautions étant prises, nous sommes alors prêts pour accueillir le bon silence, vital pour la régénération de notre cerveau. C’est aussi celui que nous choisissons parce qu’il permet de nous occuper de nous, et à partir de là de nous relier à l’autre et à notre destinée. Il inspire, ouvre à la gratitude, aide à faire le point et favorise l’émergence de ce que nous n’attendons pas. Plus fondamentalement il nourrit notre savoir-être, en nous permettant de créer notre monde intérieur, puis notre savoir-faire en nous projetant, en confiance, vers le monde du dehors. L’autrice cite « le silence de Churchill » comme l’illustration exemplaire de ce double mouvement. C’est parce qu’il a su rester silencieux lorsque David Chamberlain a proposé de nommer Lord Halifax comme premier ministre que Winston Churchill a finalement obtenu le poste.

La dernière partie du livre nous fait parcourir huit chemins pragmatiques du silence. D’abord il faut savoir faire appel à lui en reconnaissant qu’il peut servir à tracer notre ligne de vie. Il nous est suggéré de nous référer au Ted-X de Susan Cain sur la « force des discrets » pour en savoir plus. Ensuite il est possible d’apprendre à repérer ses multiples et subtiles significations pour mieux l’expérimenter. La troisième voie consiste à nous rendre compte que c’est une ressource polluée et qu’il y a de nombreux moyens pour nous désintoxiquer. Alors nous pouvons aller au cœur du défi que le silence nous pose : comment apprivoiser toute la liste de peurs qu’il éveille ? Du vide au jugement en passant par le manque, l’absence, la solitude, l’abandon, le rejet et la remise en question ? Une piste fructueuse : nous exercer à la frustration. Les trois chemins suivants sont emprunts de douceur : nous servir de l’art, les peintures de Hopper par exemple, dont il disait qu’elles lui permettaient de dire sans mots ; nous délecter du moment présent comme lors d’une marche lente ; nous rappeler que la nature est faite d’un silence amical. Enfin, le huitième chemin est celui de la spiritualité, la voie royale étant bien sûr celle de la méditation, qu’elle soit Vipassana ou Zen. La fin de ce livre peut donc être le début d’un autre : que diriez-vous de continuer votre chemin avec un bon guide parmi tous ceux qui ont été écrits ces dernières années et de faire l’expérience bénéfique du silence de la pleine conscience ?

Davantage sur https://sciences-et-bonheur.org/2021/02/06/recension-de-savourons-le-silence-se-reconnecter-a-soi-quand-le-bruit-detruit-de-emilie-devienne-eyrolles-2020-thierry-nadisic/

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N’oublions pas d’être heureux

Christophe André

Christophe André vous présente son ouvrage “Et n’oublie pas d’être heureux, abécédaire de psychologie positive” aux éditions Odile Jacob.